Après les dizaines de milliards d’euros dépensés pour aider les ménages et les entreprises à affronter la crise sanitaire, l’année 2022 devait marquer la fin de l’onéreux « quoi qu’il en coûte ». C’était sans compter sur la guerre en Ukraine et l’envolée des prix de l’énergie qui ont conduit le gouvernement à remettre la main au portefeuille. « Il est donc indispensable de mettre en place une stratégie qui combine redressement résolu des finances publiques et redressement du potentiel de croissance à moyen terme ».
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