« Aide active à mourir » : les psychologues inquiets

« Je suis aujourd’hui extrêmement inquiète pour les professionnels de santé qui sont déjà au bout de leurs ressources, avant même une évolution de la loi », explique Lucile Rolland-Piègue, psychologue de l’équipe mobile de soins palliatifs du CH Rives de Seine. Différents membres du collège des psychologues de la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs (SFAP) témoignent de leur préoccupation face à une possible légalisation de l’euthanasie à travers plusieurs contributions.

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