Le non choix face à une maladie génétique

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Alors que la « liberté » de recourir à l’avortement a été inscrite dans la Constitution, Aurélie Vallon, 27 ans, une maman de Nancy, a accepté de témoigner de l’incompréhension comme des pressions exercées au cours de sa grossesse pour ne pas garder son enfant porteur d’une maladie génétique, mais aussi du chemin parcouru. « Au cinquième mois de grossesse, on a su que notre petit garçon aujourd’hui âgé de 3 ans était porteur d’une maladie génétique, appelée le syndrome de Cornelia de Lange. La façon dont l’échographe posait les questions sous-entendait que je devais répondre « non » pour aller jusqu’au terme (cf. « Où est ma liberté si on ne me propose que l’IMG ? »). Il me décrivait mon enfant comme une chose non viable plutôt qu’un enfant, un petit être humain « classique ».

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Catégorie : Avortement | Bioéthique

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