Tous soulignent la catastrophe qui nous pend au nez, la « crise climatique sans précédent », l’urgence vitale à émettre moins de gaz à effet de serre. « Faire moins d’enfants est souvent présenté comme une solution très efficace », suggère Le Monde. On pourrait rétorquer à ces médias anxiogènes que ce n’est pas en arrêtant de nous reproduire que l’on va assurer la survie de l’espèce humaine, que la natalité explosive d’autres continents pose problème davantage que la nôtre, que ce sont précisément les enfants de demain qui donnent son sens au combat écologique des adultes d’aujourd’hui. Mais ces considérations ne semblent pas effleurer les militants et les médias qui les relaient… Rien n’y fait. Dans ce contexte de réchauffement climatique et de surpopulation galopante, la parentalité n’a pas bonne presse. Elle est devenue suspecte, dangereuse, voire criminelle.
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