Le 8 octobre dernier, plus du tiers de l’Atrium de Dax (40), est vide. Les 180 sièges inoccupés ont pourtant été réservés aux élèves lycéens du groupe scolaire privé catholique Saint-Jacques-de-Compostelle. En dernière minute, la direction de l’établissement s’est rétractée, refusant que ses élèves assistent à l’interprétation contemporaine de l’œuvre de Shakespeare Songe d’une nuit d’été, mise en scène par Jean-Michel d’Hoop et interprétée par la compagnie belge Point Zéro. Dans cette mise en scène, « masculins et féminins s’échangent de manière ludique », affirme cette compagnie. Les acteurs évoluent, cachés derrière des pantins abordant « les questions de genre et de l’identité sexuelle où les transgenres, drag-queens, SM, en short de cuir, bottillons fluo à semelles hypra compensées ou décolletés pigeonnants, ont leur mot à dire, leur flèche à décocher pour mieux mélanger le féminin et le masculin. »
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NDLR. Ils n’avancent même plus masqués. Car, la présentation de la compagnie belge Point Zéro ne pouvait laisser aucun doute dont les organisateurs n’ont même plus le bénéfice. Comme pour le Prix Goncourt porno diffusé par l’Éducation Nationale on ne peut que se demander qui sont les responsables pédagogiques qui autorisent un tel dévoiement ?