Laure Marivain, fleuriste, a été exposée dès ses 20 ans à de nombreux herbicides dans le cadre de sa profession, notamment en nettoyant « les taches bleues et jaunes » sur les végétaux recouverts de pesticides qu’elle réceptionnait en grande quantité. « Une contamination qui, malheureusement, passe la voie placentaire au moment de la grossesse et qui entraîne la contamination des fœtus », a expliqué Me Lafforgue. « J’ai empoisonné ma fille », a lâché Laure Marivain devant la cour d’appel, ajoutant : « Si l’on m’avait mise en garde, ma fille serait encore là ».
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