Alors que le phénomène de « transition de genre » prend de l’ampleur dans les média, l’importance du phénomène inverse « la détransition, à savoir le retour au genre d’origine » est « très difficile » à évaluer. Un phénomène « extrêmement rare » selon les associations militantes. Mais alors que « le nombre de transitions a augmenté de 3 200 % en dix ans » au Royaume-Uni, aucune clinique du pays ne collecte de données sur les demandes de détransition. En 2019, Charlie Evans, un journaliste scientifique britannique, crée le Detransition Advocacy Network. Et reçoit en trois mois « plus de 300 messages de jeunes femmes qui regrettent leur transition ».
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