C’est un article du Parisien (26 mai) qui a vendu la mèche : « À l’école, fini la Fête des mères : on fait des cadeaux pour… des gens qu’on aime ». Et voici le motif de cette révolution à bas bruit : « … de plus en plus d’écoles décident de l’adapter pour les petits ayant perdu un parent ou issus de familles monoparentales ou homoparentales. » Il s’agit de « rendre cette fête traditionnelle plus inclusive et représentative des différentes situations familiales » se réjouit le magazine.
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