La Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) a vu son rapport d’activité de 2018-2020 sabré par le tribunal administratif de Paris le 14 juin, comme le rapporte l’AFP, en raison de sa remise en cause des Témoins de Jéhovah dans l’un de ses passages.
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NDLR. Les minorités religieuses qui n’ont rien à perdre, n’hésitent pas à défendre leurs droits, et ça marche encore. Tant mieux ! Il n’est pas dit que cette possibilité dure encore longtemps au vu de l’arsenal politique et juridique mise en place depuis une dizaine d’années.