Beaucoup de médecins de plateau télé, qui participent à l’entretien de la panique-psychose collective avouent néanmoins que beaucoup de tests pratiqués dans le mois précédent n’ont pas de valeur, en tous cas ne témoignent pas de risque de contagiosité. Pourtant ils sont additionnés dans les calculs hebdomadaires du ministre pour tenter de prouver que l’épidémie progresse. Et lorsque les chiffres témoignent d’une amélioration, ils sont « corrigés » par Santé Publique France pour soutenir le discours et les décisions du gouvernement comme récemment pour Marseille.
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