Le graphène fascine la communauté scientifique depuis deux décennies grâce à ses propriétés incroyables. Ce matériau considéré comme révolutionnaire s’immisce dans l’industrie à travers ses applications possibles innombrables, et son marché représente plusieurs milliards de dollars. Mais aujourd’hui, l’utilisation massive du graphène, notamment dans les secteurs de la santé et des biotechnologies, fait débat plus que jamais… Alors que les produits dérivés du graphène continuent d’apparaître, nous disposons d’extrêmement peu d’informations et d’études indépendantes sur sa toxicité ou son innocuité.
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NDLR. La démonstration de l’utilisation du graphène dans de nombreux domaines, y compris médicaux, confirme l’utilisation qui peut en être faite dans le corps humain (quel que soit son mode de pénétration – à travers la peau, la respiration et l’ingestion, et bien sûr les vaccins). Grâce à sa taille nanométrique, il traverse toutes les barrières du corps : cellulaires, hémato-encéphalique (sang-cerveau), organiques (placentaire, peau, tissus biologiques…). Il peut ainsi se loger dans le cerveau humain, dans les organes où l’oxyde de graphène se fixe soit dans les poumons, foie, rate, reins… L’utilisation de nanocapteurs, de nanorouteurs, de nanoantennes, d’hydrogels, de codeurs/décodeurs, de nanorobots autonomes, ouvrent des champs d’application illimités.