Le phénomène des placements abusifs d’enfants par l’État, notamment au sein de l’ASE et les départements en France est un sujet qui demeure largement méconnu du grand public. Pourtant, des reportages inquiétants, comme celui de France 3, révèlent que près de la moitié des enfants placés en institution ne devraient pas l’être, ces placements étant souvent effectués sur des bases illégales et arbitraires. Le cas d’Hélène Lombard, dont le fils a été retiré après qu’elle a alerté des États étrangers sur les dangers qu’elle perçoit dans l’Union Européenne, illustre de manière poignante cette réalité préoccupante.
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NDLR. Il faut savoir dépasser la forme de ce témoignage pour aller au fond. Ce n’est pas la première fois que de telles accusations sont portées (voir par exemple 160 000 enfants, violences sexuelles et déni social par le juge Édouard Durand). Karl Zéro en parle également. Deux éléments sont à prendre en considération : d’une part l’alimentation de réseaux pédocriminels. D’autre part, l’enlèvement des enfants comme moyen de pression sur les parents « hors normes ».
