Claire Hédon, la défenseure des droits, reconnaît évidemment que l’épidémie de COVID 19 appelait à des mesures exceptionnelles, mais elle a « alerté sur les risques inhérents à la mise en place de procédures de contrôle généralisé de la situation des personnes ». Ses craintes, écrit-elle, « se sont confirmées », l’institution constatant « l’érosion progressive de nos libertés et de la cohésion de la société. En parallèle, les inégalités sociales et la précarité n’ont fait que s’aggraver.»
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