Depuis la crise sanitaire et le confinement, sorcellerie, vaudou, chamanisme gagnent du terrain notamment auprès des femmes. Elles sont souvent victimes des conséquences de ces pratiques. Au micro de France 2, une jeune femme, séduite par la promesse d’une harmonie avec la nature, raconte comment elle a suivi des stages de sorcière pendant six ans. « On devait récolter son sang menstruel et le mettre dans la terre pour faire une offrande à la Terre, à Gaïa comme on l’appelle dans ces milieux-là ».
Lire la suite sur France Info
NDLR. L’ignorance et le manque de recul de la plupart des journalistes sont parfois sidérants. C’est vrai sur les questions religieuses et mais se confirme également pour la sorcellerie et autres sujets connexes.