Récemment les Nations Unies ont approuvé le sixième rapport du GIEC. « Au début de la réunion, le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a appelé les délégués à fournir des « faits bruts et concrets » pour affirmer clairement qu’il reste peu de temps pour que le monde limite le réchauffement climatique à 1,5 degré Celsius par rapport à l’époque préindustrielle. » En fait la peur a été installée auprès de la population, à savoir que ce sont les dernières chances de l’humanité. Des études montrent par exemple que 60% des jeunes se disent « très inquiets » des changements climatiques. Ils jugent même leur futur « effrayant », au point ou 40% d’entre eux déclarent qu’ils « ne veulent pas d’enfant par peur du dérèglement climatique ».
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