Au Royaume-Uni, le service du Procureur, le Crown Prosecution Service (CPS), a mis à jour ses recommandations en matière de violences domestiques. Il y consacre une section aux « victimes trans et non binaires ». (…) La liste n’est pas exhaustive précise le CPS avant de citer « quelques exemples de la manière dont les personnes trans et non binaires peuvent être maltraitées par leurs partenaires intimes ou les membres de leur famille ». Parmi ces exemples on trouve le fait de « partager des images antérieures à la transition », de « refuser de l’argent pour la transition » ou « d’utiliser le nom ou le pronom de son choix », ou encore de « détruire des médicaments ou des vêtements ».
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NDLR. La fin de l’article fait le point sur la situation en France et dans les autres pays européens.