« Au moins une dizaine de molécules ont montré une efficacité sur la maladie et ne coûtent pas grand-chose », répète le Professeur Raoult dans un texte publié sur X (ex-Twitter) le vendredi 2 février, que nous publions en intégralité. On pourrait ajouter à ce petit article que les injections n’ont été approuvées que parce qu’il n’y avait, paraît-il, aucune alternative médicamenteuse (condition 4 de l’EUA, Emergency Use Authorization décrite dans l’article « La guerre des vaccins, pourquoi faut-il tuer le soldat hydroxychloroquine ? »). Le moratoire est donc essentiel, mais il faut aller encore plus loin et chercher les raisons pour lesquelles des patients n’ont pas été pris en charge et traités, conformément aux pratiques de médecine prévues dans les plans pandémie, et pourquoi risquer d’exposer une partie de la population à des risques d’effets secondaires avec une injection enfreignant le principe du consentement libre et éclairé.
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