Avec l’arrivée de l’automne et le risque d’une recrudescence du Covid-19, les vaccins ARN contre le SARS-CoV2 sont redevenus l’objet de polémiques acharnées, surtout autour des injections de rappel (particulièrement controversées lorsqu’il s’agit d’enfants) et des effets adverses des vaccins. Plus que jamais, on a l’impression d’assister à un affrontement entre deux camps diamétralement opposés. Pour les uns, la santé publique serait surtout menacée par les « antivax », jugés coupables d’avoir promu « l’hésitation vaccinale » (et donc la mort) par la désinformation. Pour l’autre camp, par contre, ce sont les autorités sanitaires et politiques elles-mêmes qui auraient imposé des produits dangereux à grande échelle contre les normes internationalement respectées de l’éthique médicale, en particulier dans le domaine du consentement éclairé.
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