Les pays occidentaux, sous l’égide des États-Unis et de l’Union européenne, soutiennent des exceptions à la criminalisation de la pédopornographie dans un projet de traité des Nations unies « contre la cybercriminalité ». Les exceptions actuellement rédigées stipulent que la pornographie qui n’implique pas un « enfant réel », qui est générée par l’intelligence artificielle ou qui est créée dans le cadre d’une « relation consensuelle » et conservée pour un « usage privé » ne devrait pas faire l’objet de poursuites de la part des gouvernements. Cette version du traité entrera en vigueur dans les mois à venir si la majorité des pays présents à l’Assemblée générale des Nations unies continue de la soutenir.
Lire la suite sur Le Salon Beige
Sur le même thème L’inquiétante convention de l’ONU sur la cybercriminalité