Tess Lawrie, médecin britannique, chercheuse et directrice d’Evidence-Based Medicine Consultancy Ltd., revient sur les entraves à la reconnaissance de l’Ivermectine comme traitement précoce contre le covid-19 : comment des influences extérieures, notamment celle d’Unitaid, sponsor de la méta-analyse conduite par Andrew Hill pour l’OMS, ont conduit à influer sur les conclusions. Elle rappelle à quel point ceux qui ont affirmé l’efficacité de tels traitements précoces ont été « ignorés, censurés, discrédités ».
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