Le Conseil supérieur des programmes a publié le 5 mars un projet de programme d’éducation à la sexualité, de la maternelle à la terminale, qui pourrait être mis en œuvre dès la rentrée 2024. S’il se soucie de la notion d’intimité et des ravages de la pornographie, il fait figurer les parents au second plan et fait peu de cas de la liberté de conscience sur le modèle familial.
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