Sans moralisme, les enjeux sont analysés du point de vue du développement cognitif, affectif, physique et sexuel des élèves, des petites classes aux lycéens. Les risques et les bonnes pratiques sont évalués et formalisés par plus d’une centaine de propositions et recommandations, rappelant que l’École doit instruire, protéger et surtout, ne pas nuire. L’École n’a pas vocation à exciter, à inciter, à gêner, ou encore à choquer. Si l’École a un rôle à jouer dans l’éducation à la sexualité, il ne peut être que complémentaire et non substitutif à celui des parents, et doit être parfaitement ajusté au niveau de maturité cognitif, psychique et sexuel propre à chaque âge de l’enfance.
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