L’idée de base est de « fusionner la biologie et l’IA », ce qui pourrait définir « de nouvelles frontières pour la technologie d’apprentissage automatique ». Les applications sont diverses : voitures ou drones autonomes, robots de livraison, interfaces cerveau-machine, découverte de médicaments. « Cette nouvelle technologie pourrait à l’avenir dépasser les performances du matériel existant purement basé sur le silicium », estime Adeel Razi. Selon le chercheur cette technologie pourrait donner à une intelligence artificielle la faculté d’« apprendre tout au long de sa vie », comme les cellules du cerveau humain. Ce qui lui permettrait d’acquérir de nouvelles compétences sans perdre les anciennes, et d’appliquer les connaissances existantes à de nouvelles tâches.
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