Lee Byeong-hwal, un Sud-Coréen souffrant d’un cancer en phase terminale avait fait appel à DeepBrain AI, pour générer une « réplique numérique » de lui. Quelques mois plus tard, alors qu’il est décédé, Ryu Sun-yun, son épouse, le voit apparaitre sur un écran géant et lui dire « Chérie. C’est moi », avant d’entamer avec elle un « semblant de conversation ». « Nous ne créons pas de nouveaux contenus », autrement dit « dire des phrases que le défunt n’aurait jamais prononcées ou écrites dans un journal puis validées de son vivant », précise Joseph Murphy, responsable du développement chez DeepBrain AI.
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