Les lois sont faites pour protéger les individus et la société. Détourner volontairement ces lois c’est agir contre les individus et la société, pour favoriser d’autres intérêts.
Il était une fois l’Agence du Médicament, créée le quatre janvier 1993, suite aux scandales du sang contaminé (1980-1990), du talc Morhange (1970), de la thalidomide (1950-1960), du Stalinon (1953)…
Il était deux fois l’AFSSAPS, Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé créée le premier juillet 1998 est chargée de s’assurer de la sécurité des produits de santé avant leur mise sur le marché. Elle hérite des compétences de la précédente élargies à tous les produits de santé. Cette agence semblant s’occuper plus de la santé des laboratoires pharmaceutiques que de celle de nos concitoyens, après les scandales du Médiator (2009) et des prothèses PIP (2010), une autre agence verra le jour.
Il était trois fois l’ANSM, Agence Nationale de Sécurité du Médicament créée le premier mai 2012, suite aux échecs de l’AFSSAPS, sa règle première et principale sera la transparence de l’instruction des dossiers et la mise à disposition du public des débats argumentés qui président aux décisions.
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NDLR. Les faits proposés dans cet article sont particulièrement intéressants car ils montrent que les organismes mêmes changés de nous protéger, non seulement ne le font pas, mais agissent au mépris de la loi. En toute impunité, avec l’accord et la complicité de l’État. Même constat au niveau européen.