Prenons le domaine des mobilités, un environnement que nombre d’individus sont amenés à emprunter et qui fait l’objet d’un enjeu de taille : l’intelligence artificielle est conceptualisée au profit d’une régulation des comportements humains, avec pour objectif principal de « domestiquer » les mauvais usagers de la route.
Quel que soit le type d’engin motorisé, cette constante s’amplifie d’année en année avec l’expérimentation et l’introduction de nouveaux systèmes de contrôle et de verbalisation dont l’aboutissement ultime – à terme – est bien évidemment le fonctionnement en pleine autonomie, c’est-à-dire sans opérateur humain. Un niveau qui sera considéré comme atteint grâce à un taux d’échec le plus faible possible (< 1 %).
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