La Belgique compterait près de 26 000 travailleurs et travailleuses du sexe (TDS), estime la police fédérale. Plutôt 5 000 à 6 000, selon l’Université catholique de Louvain. Ces disparités illustrent à elles seules les difficultés rencontrées par les prostitués dont l’activité, plus ou moins régulière, était jusqu’à présent tolérée, mais non légale. Cette zone d’ombre devrait s’éclaircir. Depuis le 1er juin, les TDS sont reconnus comme des travailleurs, ce qui leur donne accès aux mêmes droits et à la même protection sociale (maladie, chômage, maternité…) que les autres.
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