La « fabrique de l’humain » face aux enjeux biologiques, sociétaux et éthiques

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En France, le nombre de personnes confrontées à des problèmes d’infertilité est en augmentation : un couple sur quatre souhaitant un enfant fait face à des difficultés de procréation. Par ailleurs, le nombre de grossesses tardives chez les femmes de plus de 40 ans s’accroît lui aussi. Si la procréation médicalement assistée (PMA, ou AMP) constitue un immense progrès pour aider les personnes infertiles, pourra-t-elle répondre à tous ces défis ? Quels questionnements éthiques se posent, alors que s’affirme une volonté sociétale qui tend à mener la médecine hors de son champ initial, qui est de soigner ? La dernière révision des lois de bioéthique a tenté de répondre à ces mutations de nos sociétés, mais de nombreux défis restent à relever, et des questions continuent à se poser.

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NDLR. L’article permet d’avoir une idée de l’évolution notamment législative, mais fait l’impasse sur un certain nombre de problèmes éthiques, comme par exemple le DPI – diagnostic préimplantatoire, expression d’un eugénisme qui ne porte pas son nom. Lire « Ce que la génétique doit à l’eugénisme »

Etiquettes : infertilité | naissance

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