Des chercheurs de l’université de Stanford ont évalué la rentabilité du recours à la fécondation in vitro accompagné d’un diagnostic préimplantatoire (DPI). Selon eux, une telle combinaison « permettrait de réduire considérablement les dépenses de santé ». Le DPI est désormais utilisé pour dépister les « anomalies monogéniques » qui peuvent conduire à la mucoviscidose, la drépanocytose, la maladie de Tay-Sachs, ou encore « près de 400 autres maladies ».
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NDLR. On notera les termes financiers utilisés pour parler d’une action médicale. Depuis longtemps, les assurances santé, publiques ou privées, insistaient sur ce dépistage. S’il est fait mention de son application dans le DPI, celle-ci s’applique déjà pour les grossesses normales. Par exemple, voir la situation en Europe concernant les fœtus atteints de trisomie qui sont avortés.