« Haine, manipulation, désinformation, contrefaçons… Ces dérives touchent de plus en plus de contenus en ligne. Pour protéger les Européens, le règlement sur les services numériques (DSA) encadre les activités des plateformes, en particulier celles des GAFAM. Il entre en application pour toutes les plateformes numériques le 17 février 2024. »
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NDLR. Ciblant à l’origine les très grandes plateformes et les très grands moteurs de recherche, le règlement s’applique désormais à toutes les plates-formes numériques. Si on ne peut que se réjouir que cela concerne les sites pornographiques depuis longtemps dénoncées par les associations comme le CPDH, certaines formulations vagues comme par exemple « manipulation » ou « désinformation » laissent craindre une utilisation beaucoup plus large pouvant toucher ce qui n’est pas dans la Doxa officielle et donc à la liberté d’expression, de conscience, et, n’en doutons pas, à la liberté religieuse dès que les convictions religieuses seront déclarées non conformes (avortement, genre, homosexualité, etc.).