L’AIMSIB s’est trouvée alertée cette semaine par « Christine Mackoi » [*], une biostatisticienne lanceuse d’alerte qui sait parfaitement que l’incognito reste vital pour qui souhaite conserver son emploi en France. Ses calculs, vérifiés, démontrent l’existence d’une hausse très significative du nombre de décès des bébés âgés de deux à six jours, deux mois d’affilée, pile depuis l’introduction de cette « thérapie monoclonale préventive contre la bronchiolite » (Beyfortus®) qui très probablement n’a jamais été vraiment testée chez les nouveau-nés, comme la HAS l’a fait involontairement remarquer [**]. La probabilité pour que ces injections autorisées à la Diafoirus soient mortelles nous crève les yeux, que va décider la HAS maintenant qu’elle vient d’en accepter le développement ? Comme d’habitude, vous pensez ?
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