“Une expertise judiciaire […] met en cause Merck et l’Agence du médicament lors de l’arrivée en 2017 de la nouvelle formule de ce médicament pour la thyroïde utilisé par plus de 3 millions de personnes en France. Elle a provoqué des milliers d‘effets secondaires.”
L’affaire du Levothyrox ? « Il n’y a aucun scandale », nous disait avec force, la ministre de la Santé, Agnès Buzyn en septembre 2017. « C’est une crise liée à un défaut d’information et à un défaut d’accompagnement, qu’il faut entendre. La nouvelle formule est même beaucoup plus stable que la précédente. » Dominique Martin, alors directeur de l’Agence nationale de sécurité des médicaments (ANSM), déclarait à Libération, à la même époque : « Beaucoup d’informations ont été délivrées aux professionnels de santé. Et pourtant, cela n’a pas fonctionné. »
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