En Europe, le taux de mortalité infantile continue de diminuer en moyenne, « bien qu’à un rythme très faible depuis 2012 ». Par conséquent, la mortalité infantile en France est supérieure à la moyenne de l’Union européenne, et ce depuis 2015.« La hausse de la mortalité néonatale peut être due aux progrès de la médecine néonatale qui permet aux grands prématurés, qui seraient autrefois mort-nés, et donc non comptabilisés dans les naissances vivantes, de survivre pendant quelques heures ou quelques jours après la naissance », interprète l’Insee (cf. Santé périnatale : un état des lieux global établi par Santé Publique France). Mais un autre facteur peut être celui de la hausse de l’âge des femmes à la maternité, et donc de l’augmentation de la part des naissances à risque (cf. Ages limites pour une PMA : 45 ans pour l’une, 60 ans pour l’autre).
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