Par Erwan Cloarec, nouveau président du CNEF. La question est posée, et elle se pose d’une manière accrue à l’heure où ce sujet de l’euthanasie et du suicide assisté est débattu à nouveau dans l’hémicycle : qu’est-ce qui fait la valeur de la vie d’un homme ? Qu’est-ce qui fait que l’on peut dire d’une vie qu’elle est « digne d’être vécue » ? Peut-on considérer la dignité comme un bien périssable qui s’écaillerait avec les années ? Et serait-il alors préférable de tirer sa révérence avant d’offrir le spectacle d’un délabrement honteux, qu’il soit physique ou intellectuel ?
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