Que le porno soit contraire aux combats que notre époque prétend mener en faveur de la dignité des femmes ou de la protection des enfants n’est plus à démontrer. Nombre d’associations de tous bords, qui pour la plupart n’ont rien de puritain, mettent en garde depuis des années contre l’univers lubrique qui s’étend comme si de rien n’était, comme s’il n’était qu’un gentil divertissement impudique, réponse inévitable à l’énorme désir de jouir qui saisit l’homme, et dont le monde flatte volontiers l’humeur égoïste et frivole.
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