« Lorsque j’ai appris que j’étais enceinte, ma première pensée a été d’appeler un centre d’avortement et de prendre rendez-vous. J’avais déjà quatre enfants à la maison, le père de mon enfant n’était pas là et les factures s’accumulaient », témoigne Neesha. Son entourage ne la soutient pas non plus, lui affirmant qu’elle n’est pas capable d’élever un autre enfant. « Non seulement l’avortement semblait être l’option la plus facile, mais c’était aussi ma réaction naturelle », indique-t-elle. Elle avait en effet déjà subi plusieurs avortements. Neesha passe alors un appel pour planifier une IVG. Mais depuis les procédures précédentes, la loi sur les battements de cœur est entrée en vigueur dans l’État de Géorgie. Il est trop tard pour qu’elle subisse l’intervention.
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