L’un de ses médecins, le Dr Riina Bray, a cherché un meilleur logement, affirmant que Denise a besoin d’un « déménagement immédiat pour sa sécurité ». Mais elle n’est pas parvenue à trouver un logement qui corresponde aux moyens de Denise. Son seul revenu provient du Programme ontarien de soutien aux personnes handicapées. La jeune femme explique n’avoir pas réussi non plus à obtenir un logement temporaire ou des « fonds d’urgence ». En revanche « la demande de mort médicalement assistée a été étonnamment plus facile ». Un psychiatre l’a d’abord jugée apte à prendre cette décision. Un « fournisseur d’aide médicale à mourir » a ensuite examiné ses antécédents médicaux et a signé l’approbation. Enfin un troisième médecin lui a demandé de finaliser les documents, ce qu’elle est en train de faire. Lire la suite sur Généthique
La mise à mort médicale arrive en France
Le 8 novembre 2023, le chef de l’État français Emmanuel Macron se rend au siège du Grand Orient de France. Pour marquer le 250ème anniversaire de la plus ancienne obédience maçonnique française, il prononce un discours dans lequel il promet un projet de loi pour...