L’un de ses médecins, le Dr Riina Bray, a cherché un meilleur logement, affirmant que Denise a besoin d’un « déménagement immédiat pour sa sécurité ». Mais elle n’est pas parvenue à trouver un logement qui corresponde aux moyens de Denise. Son seul revenu provient du Programme ontarien de soutien aux personnes handicapées. La jeune femme explique n’avoir pas réussi non plus à obtenir un logement temporaire ou des « fonds d’urgence ». En revanche « la demande de mort médicalement assistée a été étonnamment plus facile ». Un psychiatre l’a d’abord jugée apte à prendre cette décision. Un « fournisseur d’aide médicale à mourir » a ensuite examiné ses antécédents médicaux et a signé l’approbation. Enfin un troisième médecin lui a demandé de finaliser les documents, ce qu’elle est en train de faire. Lire la suite sur Généthique
L’« aide à mourir » : la prochaine priorité
Gabriel Attal ne s’en était pas caché lors de la campagne législative : l’« aide à mourir » reste une priorité pour le camp présidentiel (cf. Législatives : l’« aide à mourir » reste une priorité pour le camp présidentiel). Hier, il a reçu le soutien de l’ancien...