Suite au travail remarquable de lanceurs d’alerte, l’ONU a produit un rapport quasi semblable à celui du rapporteur Juan Miguel Petit en 2002. Pour dénoncer la même chose : l’obstruction de la « justice » quand il s’agit d’affaires de pédocriminalité. Avec à la clé une maltraitance institutionnelle des enfants condamnés à vivre avec leurs agresseurs, et des parents protecteurs privés de leurs enfants et harcelés par la justice et son bras armé, les « services » sociaux.
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