Après Sapiens, sa « brève histoire de l’humanité » publiée en 2011, traduite en plus de 40 langues, et qui s’est écoulée à plus de 6 millions d’exemplaires, l’historien israélien Yuval Noah Harari s’est lancé dans la rédaction de Homo Deus (Albin Michel, 2017), une « brève histoire de l’avenir », disponible en français depuis le 6 septembre. Un livre dans lequel il se penche sur une humanité qui perd son libre-arbitre au profit des machines et de l’intelligence artificielle. La prospective est un exercice auquel les historiens s’adonnent rarement. Yuval Noah Harari, professeur d’histoire à l’université hébraïque de Jérusalem, s’y prête pourtant avec bonheur dans Homo Deus : une brève histoire de l’avenir.
Lire la suite sur Usbek&Rica
NDLR. Comme Jacques Attali, Yuval Noah Harari fait partie de ces « prophètes » des temps modernes alliant annonces fracassantes et prospectives apocalyptiques. Tout n’est certainement pas à prendre au pied de la lettre, mais leurs propos méritent notre attention car ils reflètent la pensée d’une « élite » mondialiste qui dirige le monde.