La direction nationale de la police judiciaire (ex-DCPJ), par l’intermédiaire de son service de renseignement et d’analyse de la criminalité organisée (Sirasco), s’alerte du trafic de biodéchets par les groupes criminels. Depuis plusieurs années déjà, la criminalité organisée a investi le champ de l’environnement où la réglementation parfois floue ou méconnue des opérateurs économiques lui permet « d’investir » et de faire fortune, l’exemple de l’arnaque à la taxe carbone générant près de 2 milliards d’euros au profit de ses auteurs étant le plus connu.
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