Donald Trump a effectué un retour spectaculaire à la Maison-Blanche. Après une présidence tumultueuse entre 2016 et 2020 et une défaite en 2020, sa réélection a pris de court de nombreux observateurs, notamment en Europe, où il reste largement impopulaire. Les qualificatifs à son égard fusent : vieux mâle blanc, néonazi, dictateur, chantre de l’extrême droite, menace pour la démocratie… Kamala Harris elle-même l’a qualifié de fasciste. Dans cet article, nous tenterons de comprendre les raisons profondes de cette animosité, tant aux États-Unis qu’en Europe, en écartant au passage les explications superficielles souvent avancées pour justifier ce rejet.
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NDLR. L’intérêt de cet énième article concernant l’opposition viscérale contre le nouveau président des USA, au-delà des clichés éculés, réside dans le développement des raison profondes de cette opposition puisés au sein même des enjeux sociétaux, et qui donc, nous concerne tous.