En parcourant les 17 objectifs de développement durable des Nations unies inclus dans le fameux Agenda 2030, on pourrait croire qu’il s’agit d’objectifs inoffensifs et tout à fait raisonnables. Qui pourrait s’opposer à une diminution de la pauvreté et de la faim ou au développement des infrastructures, de l’innovation et de l’industrie ? L’astuce, qui s’apparente à l’histoire du cheval de Troie, est que ces objectifs ont été accaparés par l’interventionnisme le plus odieux, et que des bureaucrates pétris de vanité et de manque de bon sens s’en servent pour imposer un contrôle gouvernemental sur tous les aspects de l’économie. Ils s’attaquent à l’agriculture et à presque toutes les activités privées dans une Europe qui commence à ressembler à une société étouffée par un État prédateur et des zombies aux ordres du gouvernement…
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