Les ambassadeurs des 27 États membres de l’Union européenne ont approuvé à l’unanimité l’AI Act, « un cadre règlementaire exhaustif sur l’intelligence artificielle » (IA), présenté comme « le premier de ce genre au monde ». L’année dernière, la Chine a introduit des règles sur l’IA générative et le président américain Joe Biden a publié un décret réglementant la technologie. Toutefois, « la législation de l’UE est la plus complète, avec des règles contraignantes sur un large éventail de questions allant des risques aux droits d’auteur ». L’AI Act ventile les systèmes en quatre catégories principales en fonction du « risque potentiel qu’ils représentent pour la société ».
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NDLR. Cette façade d’unanimité cache un texte voté au forceps avec de nombreuses réserves non seulement par des États mais également par la société civile. Et toujours la même procédure politique de faire adopter un texte a minima pour pouvoir mieux le faire évoluer ensuite en commission.