Un homme britannique souffrant d’infertilité a mélangé son sperme avec celui de son père, dans le but de féconder sa femme. Désormais, il est le père d’un petit garçon de 5 ans. Un « arrangement » qui aurait dû rester secret mais qu’une procédure judiciaire a dévoilé dans des circonstances floues (cf. Angleterre : un homme mélange son sperme à celui de son père pour féconder sa femme). Danielle Moyse, philosophe, professeur et chercheuse associée à l’Institut de recherche interdisciplinaire sur les enjeux sociaux, livre son analyse de cette affaire. Cette histoire témoigne déjà du fait qu’un élément du corps n’est plus perçu que comme du “matériel génétique” remplaçable, quelle que soit la personne dont il émane.
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