« L’avortement fut légalisé trois ans plus tard, avec la loi sur l’IVG portée par son amie Simone Veil et le président Valéry Giscard d’Estaing. » C’est ce qu’a affirmé Emmanuel Macron dans un discours d’hommage à Gisèle Halimi le 8 mars dernier. A tort. En effet, dans son article premier, la loi Veil disposait que « la loi garantit le respect de tout être humain dès le commencement de la vie. Il ne saurait être porté atteinte à ce principe qu’en cas de nécessité et selon les conditions définies par la présente loi ». Ainsi, le recours à l’avortement n’est qu’une possibilité « dérogatoire » au droit à la vie. En 1975, l’avortement a été dépénalisé, pas légalisé.
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