Frédéric Mitterrand : le dessous des cartes

Pédocriminalité

Frédéric Mitterrand est décédé le 21 mars, et les louanges pleuvent. Pourtant…
Adulé et loué sans cesse par la caste médiatique jusqu’en 2009, où Marine Le Pen met au jour son activité pédophile à la télévision, activité pourtant connue du landerneau médiatique et politique parisien. Pour preuve, son livre La mauvaise vie où il raconte son tourisme sexuel, est paru en 2005. Et ce n’est qu’en 2009 qu’il est enfin dénoncé et met le ministre en difficulté. Pourtant il sera soutenu sans condition par toute la classe politique. Frédéric Mitterrand n’a jamais été inquiété par la justice française, tout comme Daniel Cohn-Bendit ou Jack Lang accusés eux aussi publiquement de pédophilie. On pourrait citer également Marlène Schiappa avec sa production littéraire « érotique ».

NDLR. Comme nous l’avons vu encore récemment dans ce témoignage, le problème touche toute la caste politique, journalistique et aussi juridique, ce qui explique la quasi impunité de tous ces personnages. Sentiment d’impunité tellement fort, qu’ils n’hésitent pas, non seulement à reconnaître leurs déviances, mais également à les exposer sans aucun remord dans le silence complaisant, pour ne pas dire le soutien complice. Ce qui faisait dire à Paul-Antoine Martin, auteur de « Le clan des seigneurs » : « La crise est d’ordre anthropologique. Anthropologique au sens de crise spirituelle, de crise morale, du relativisme qui a envahi l’espace public et de l’incapacité à avoir des convictions, ce qui est absolument fondamental. » Avec ce constat effrayant, c’est que le problème touche l’ensemble de la société complice

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