Le 30 janvier, la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE), dans le cas Giovanni Frajese, a rappelé que toute vaccination est l’objet d’une prescription médicale engageant le praticien. L’autorisation de mise sur le marché, de même que les recommandations publiques, n’entrainent aucune obligation pour le praticien de prescrire et administrer un vaccin : il conserve la liberté de déconseiller et ne pas administrer le vaccin. Pour les praticiens, très peu formés en général sur les vaccins, et appliquant souvent de façon mécanique les recommandations publiques, il s’agit d’un nouveau paradigme : il devrait les pousser à une bien plus grande prudence, compte tenu du poids de la responsabilité civile, voire pénale, rappelée par la cour.
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NDLR. Ce renvoi vers la responsabilité du médecin prescripteur, même en cas d’autorisation, voire de recommandation, d’un vaccin par les autorités, est non seulement un déni de justice face à tous les médecins qui ont été condamnés pour avoir dénoncé les « vaccins », mais également un dédouanement scandaleux pour les « autorités » politiques et sanitaires ayant rendu la vaccination obligatoire.


