La constitutionalisation de l’avortement était un acte idéologique aussi ignoble qu’aveugle à la réalité. Ceux qui se sont battus pour cette « liberté fondamentale » ne veulent pas admettre que l’embryon et le fœtus sont de véritables êtres humains, des enfants à naître. Ils mentent en disant que ce sont des amas de cellules. Ils ne veulent pas parler « d’avortement », mais préfèrent parler « d’IVG » comme si c’était une interruption temporaire, alors que c’est un acte irréversible. (…) Les échanges avec les parlementaires ont porté sur trois angles morts des politiques publiques : les conséquences de l’IVG pour les femmes, les pressions fortes subies par certaines, notamment de la part du père de l’enfant, et enfin l’information sur les alternatives à l’IVG. Certains parlementaires nous ont dit qu’ils s’engageraient à développer des mesures concrètes. Il faut que vous écoutiez ces femmes et partagiez ces témoignages bouleversants. Des milliers de femmes sont traumatisées parce qu’on ne les a pas mises en garde.
Comment l’agrochimie étouffe ses opposants
Corinne Lalo, journaliste d'investigation, grand reporter et spécialiste des questions d'environnement et de santé analyse les « Bonus Eventus Files ». Auteur de plusieurs ouvrages dont “Le Grand Désordre hormonal : Ce qui nous empoisonne à notre insu” (éditions...