Un an après l’inscription de la liberté d’avorter dans la Constitution, un sondage réalisé par l’Ifop pour Alliance VITA montre que si l’avortement s’est progressivement institutionnalisé dans la société, les Français considèrent qu’il ne s’agit pas d’un acte banal et soutiennent massivement la mise en œuvre d’une politique de prévention. Dans un contexte de normalisation englobant la constitutionalisation, l’allongement des délais et un discours médiatique très favorable, 46% des Français jugent toutefois le nombre d’IVG « préoccupant car avorter reste un acte que l’on préfèrerait éviter ». Près de 9 Français sur 10 (88%) – 91% des Françaises – considèrent qu’un avortement laisse des traces psychologiques difficiles à vivre pour les femmes. Ce fort pourcentage souligne que l’avortement n’est pas considéré comme un acte banal par une grande majorité, sachant que des vies sont en jeu. Deux tiers (65%) des Français estiment que la société devrait davantage aider les femmes à éviter d’avoir recours à l’IVG.
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