Autrefois, magistrats et flics œuvraient dans le même sens : il fallait interpeller, poursuivre et condamner les délinquants. Depuis 1983, avec l’abolition de la peine de mort et les premières grandes réformes « droits-de-l’hommistes » du Code de procédure pénale en 1993, nombre de magistrats ont vu dans les nouveaux textes à répétition, notamment sous l’influence de notre chère Union européenne, les moyens de prendre possession et de contrôler la police, de la soumettre de plus en plus à leur joug, sous prétexte que l’autorité judiciaire est la gardienne de la liberté individuelle.
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